une légere brise, un rayon de soleil se glissant à travers les planches du volet, réveillèrent avec douceur la belle endormies. elle ouvrit les yeux, et laissa son regard glissé d'objets en objets, alors que ses pensées passés doucement du rêe à la réalité. elle oublié peu à peu les chimères fantasques de sa nuit, pour se fondre dans le présent morose de tous ces matins qui lui étaient si pesant.
comment auait_elle put aimer cette vie ou personne ne semnlait se préoccuper que de lui même. elle était né dans du velour qui se révélait etre plus piquant que les ronces. elle se leva et se prépara doucement, comme pour ramlentir le tepmps qui l'acrasaittous les jours un peu plus.
Au moment où elle coifait ses cheveux en un modeste chignon, elle vit entrer sa nourrice, son visage été aussi sévère qu'à l'accoutumé.
cette derniere regarda le jeune femme, qu'elle avait nourris de son sein quelques années plus tôt, avec des yeux eplis dune haine et dune colère froide. elle dit alors dune voix tranchante:
-mademoisellevous savez bien que vous ne devez pas vouis préparer seul cela n'est pas digne d'une personne de votre condition.
-oui chere nourrice je le sais. mais depuis longtemps j'été réveillé, et je ne voulais pas vous déranger , de si bon matin.
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